Cette feignasse de Smith ayant pas jugé bon de créer un nouveau topic après avoir fermé l'ancien, celui-ci en est la suite!!!
MARVEL
Secret wars 3
Ce numéro approfondit le monde nouveau au travers de plusieurs discussions importantes nous révélant tout un tas de non-dits et de vérités cachées. En fait, 8 ans ont passé entre les évènements du 1 et du 2, ce qui explique bien certains changements drastiques de caractère chez certains personnages.
On découvre que certains personnages savent encore qu’il y’a eu un monde avant celui-ci et l’origine de Battleworlds. Les antagonistes ont rarement été aussi pluridimensionnels. Un vrai bonheur d’écriture.
Encore un numéro passionnant !
Scénario : 17/20
Dialogues : 18/20
Dessins, encrage, couleur : 18/20
Note finale : 18/20
Spider-man : renew you vows 1
Dans ce domaine de Battleworlds, Spider-man s’est marié avec Mary-Jane et n’a jamais perdu la mémoire à cause de Mephisto et son stupide contrat de One more day.
Un jour, les vengeurs et la majeure partie des super-héros se rassemble à la tour de la super équipe : un riche industriel a fait tuer les héros sans pouvoirs et de nombreux autres, dont les X men, ont subi des expériences dans ses laboratoires. S’appropriant leurs pouvoirs, rien ne semble pouvoir l’arrêter, pas même une énorme coalition de héros. Apprenant l’évasion de Venom de la prison des super criminels, Spider-man ne participe pas à ce combat, car il sait qu’Eddie Brock va s’en prendre à sa femme et son bébé…
Ce premier numéro est doté d’un scénario classique mais très efficace et bien mené. Il est axé sur les responsabilités nouvelles qui incombent à Spider-man en tant que père. Assez dramatique, il bénéficie d’une superbe réalisation : dessins magnifiques, dialogues réussis. On se passionne pour le destin du tisseur placé face à des choix cornéliens.
La suite dans deux semaines déjà. Vivement !
Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20
Years of future past 1
Ce domaine continue le scenario du célèbre arc des X men “Days of future past” avec quelques points de divergence vis à vis des évènements d’origine. Nous suivons Christina Pryde, fille de Kitty et Peter Raspoutine (Colossus) qui est considérée comme le meilleur espoir des mutants dans ce mond sinistre. Le sénateur Kelly, politique raciste, a fait plusieurs mandats et parqué les mutants dans des camps de concentration (qui portent bien sûr un nom moins effrayant), des sentinelles parcourant les rues en ruine des villes depuis plus de quinze ans... Mutants, humains et « anomalies » (des super héros humains ?) doivent arborer en permanence des vêtements identifiant par une lettre leur nature.
Des affiches sont partout placardées sur les murs, appelant les humains à vérifier annuellement si leurs enfants sont des mutants et à préserver la « pureté » de la race humaine.
A la veille des élections présidentielles, Kelly craint une victoire des libéraux pro-mutants qui amènerait seol lui la déchéance de l’humanité ets urtout le courroux de Dieu, qui lui a donné mission, comme à la baronne Grey (cf X tinction agenda 1 plus bas dans la page) de circonscrire les mutants et d’empêcher qu’ils se rendent où ils veulent sur Battle worlds.
Quoi de mieux qu’un petit incident filmé ? C’est au même moment que Christina, sa mère et leurs alliés découvrent un moyen de se libérer de leurs colliers inhibiteurs de pouvoirs.
Un premier numéro assez magistral dans le genre ! ça a vraiment le goût et la couleur du célèbre crossover, y compris dans la narration et les dessins.
Pour l’instant, le titre le plus convaincant de Secret wars sur les mutants.
Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20
Thanos : the infinity relativity OGN
Suite directe de l’excellent Thanos : the infinity revelation et du nettement moins bon et assez mal nommé Thanos vs Hulk, ce nouvel original graphic novel de Jim Starlin se situe en fait entre les deux.
Face à la menace représentée par un Annihilus plus puissant que jamais et aux pouvoirs encore inconnus de la nouvelle incarnation de Warlock, Thanos se voit contraint de sortir de sa retraite.
Il s’adjoint l’aide de ses alliés traditionnels, le téléporteur Pip et sa pupille Gamorra, désormais membre des gardiens de la galaxie, qui partagent ici la vedette avec l(’anti) héros titre.
Ce deuxième numéro de la trilogie est de bonne facture : nous avons droit à notre dose de cosmique starlinien avec un mélange toujours aussi réussi des éléments qu’il a créé dans les années 70 et poursuivi dans les années 90 mais également les ajouts réussis de l’ére Abnett et Laning (la vague d’Annihilation, les alliances entre empires, les gardiens modernes).
Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20
Future imperfect 1
Ce domaine désertique du nom de Dystopia est régi par le cruel Maestro, célèbre avatar de Hulk, seul super-héros à avoir survécu à une guerre mondiale nucléaire, devenu tyran de l’unique ville existante. Nous suivons une mutante qui sauve du désert un Odin ayant perdu ses pouvoirs.
Très bon premier numéro exploitant très bien l’univers futuriste éponyme de son créateur, qui parvient à nous surprendre et à nous divertir à chaque page.
Même le dessinateur Greg land est plutôt en forme par rapport à ses habitudes !
Très bon premier numéro qui donne diablement envie de lire la suite.
Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 16/20
Armor wars 1
Le domaine de Technopolis est une métropole gigantesque ravagée par un mystérieux virus. Toute la population doit porter une armure faite par la firme du baron Stark ou par son frêre, Arno.
Stark a promis à son père de sauvegarder une certaine indépendance et liberté à la ville, qui obéit aux règles du dieu de Batlleworlds mais qui a son propre Thor (Jim Rhodes, War machine dans d’autres univers) et relègue le plus loin possible les affaires d’Etat.
Nous faisons connaissance avec quelques grandes figures de ce domaine, toutes prisonnières d’un carcan d’acier, notamment le baron Stark, qui gère le domaine, Pepper Potts ou en core la petite amie d’un certain Spyder-man (vi vi)., qui gère sa compagnie en nom propre.
Problème : les deux frères sont en conflit armé et Arno est prêt à tout …
Un très bon premier numéro qui présente les enjeux, les forces en présence et le domaine, évoquant certaines figures influentes pas encore apparues (le Caïd du crime, par exemple).
Les dessins sont simples mais très efficaces, avec de l’impact, malgré quelques défauts. La progression du scénario est efficace et ce domaine est un desplus intéressants jusque là, notamment parcequ’il ne se limite pas à bêtement mettre les super héros en armures et va jusqu’au bout du concept d’Iron man.
Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 16/20
Giant size little avengers vs X men 1
Le domaine de Marville (oui, comme la courte série du même nom, que je n’ai pas lue) est l’un des rares où la mort semble ne pas exister !
Cette ville typiquement « banlieue américaine » est le cadre de jeux gentiment conflictuels entre deux bandes d’enfants à super pouvoirs : les X men de Cyclope, qui aime les jeux de mots pourris et les vengeurs de Captain America. D’autres bandes de gamins regardent tout ça d’un œil interrogatif, comme la bande des midnight sons ou encore Kid MODOK.
Dans ce numéro, nous suivons la dérouillée infligée par Magyk à un Tony Stark déjà doté d’un système pileux, nous apprenons qu’en matière de stand de bouffe, il faut être prêt à tout pour attirer le client et assistons à l’arrivée de célèbres jumeaux dans le quartier.
Avec son petit générique chanté très réussi de début de numéro et ses dialogues légers, ce premier numéro est une franche réussite pour Skotte Young, qui sort pour une fois le nez de ses bien connues couvertures alternatives.
Légère et belle, très amusante à défaut d’être franchement drôle, cette série s’annonce sous de très bons auspices.
Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 15/20
X-tinction agenda 1
Ce domaine est une uchronie qui imagine que plusiuers X men et nouveaux mutants sont restés à Gensoha pour rebâtir la ville après la bataille qui a opposé cet état humain génocidaire et eclavagiste aux mutants. Malheureusement, l’île est sous quarantaine depuis qu’un mystérieux virus menace la survie des esclaves mutants survivants, pouvant se transmettre aux mutants comme aux humains.
Le baron du domaine est Jean Grey, une mutante saine qui supervise à la fois Genosha et le reste du pays au-delà de la zone de quarantaine. Elle est limitée dans sa mission par les consignes de Dieu, qui considère les mutants comme un fléau qui doit être circonscrit à certaines zones (on repart dans les délires de certains scénaristes qui le rendaient tour à tour raciste dans Black panther ou encore misogyne dans Mighty Avengers…).
Un titre un peu trop décompressé et bavard, servi par des dessins qui m’ont fait penser aux nineties. Pas franchement hyper marquant. On se demande comment Guggenheim va transformer l’essai.
Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20
Secret wars battleworld 2
Deux récits composent ce numéro. Le premier fait se rencontrer le Blade des années 70 et un Howard the duck qui n’a jamais quitté Duckworld.
Malgré les clins d’œil à la série originale d’Howard, il est très oubliable car un peu balourd, aussi bien dans l’humour que dans l’exécution.
Le deuxième se déroule dans les arènes de gladiateurs d’Arcade, que nous avions déjà vues dans Planet Hulk 1. Un avatar du taskmaster est très dépité de voir que sa protégée n’a pas grand succès aux yeux du public comme du dieu de Battleworlds et suit avec jalousie l’ascension fulgurante du cyborg Warmachine, un avatar du général Ross à la recherche des hulks qui ont tué sa fille.
Réalisé par la même équipe que celle de la mini Planet Hulk, cette courte histoire est de bonne facture.
Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20
IMAGE
Jupiter’s circle 3
Nous suivons dans ce numéro l’un des super-héros de l’équipe des années 50. Ayant arrêté une attaque du Toyman de cet univers, il lie connaissance avec une jeune fille du trou où a eu lieu l’attaque. Celle-ci rêve de devenir une super-héroïne et d’échapper à son bled. Notre héros, marié et père de plusieurs enfants, connaît des problèmes de couple avec sa femme et se sent pousser des ailes au contact de sa nouvelle alliée…
Après l’homosexualité illégale du héros précédent, Millar dépeint cette fois un homme en pleine crise de la quarantaine qui va vivre une « May-december romance ». Toujours aussi beau, simple et réussi, décrivant efficacement les années 50 et des héros qui sont avant tout des êtres humains, ce numéro est très agréable et assez fin dans la manière dont il traite son sujet.
Apparemment, les 12 numéros de la série seront constitués de courts arcs de deux numéros chacun.
Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20
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