Il y a quelques années de ça, devant la difficulté de constituer une nation comme on l'entend en France, l'Espagne a eu la bonne idée de laisser beaucoup d'autonomie aux différentes "régions" sans basculer dans le fédéraliste, dans le but de couper court aux velléités d'indépendance. Mais, la Catalogne a tellement cultivé sa différence, avare de sa réussite économique, qu'elle a inventé une nouvelle génération de privilégiés vindicatifs et égoïstes. En 1986, quand l'UE a récupéré l'Espagne, elle a été loin d'être avare. Pendant 20 ans d'affilé, l'Espagne est le pays le plus soutenu financièrement en terme de dotations par l'UE. Voilà à quoi ressemble la solidarité.
Encore, les indépendantistes ne sont pas homogènes, et on y retrouve des tendances tout à fait contraire : des anti-eu, des nationalistes pur souche et tout le tralala habituel.
Les anti-indépendantistes commencent à se réveiller petit à petit... Peut-être à cause de ce fameux référendum qui fut une mascarade sans précédent... Seuls les pro-indépendantistes iraient participer à un referendum illégal, tenus par des assesseurs tous pro-indépendance. C'était une parodie de démocratie, l'Etat a bien fait d'envoyer les policiers perturber tout ça, mais c'est aussi une faute politique sans précédent, car voilà que les indépendantistes s'estiment victimes de violence policière
Dans le cas ou la Catalogne accède à l'indépendance, cela déconcentrerait les activités économiques implémentée là bas. Les catalans croient que leur réussite économique est le fait de leur génie, mais c'est aussi parce qu'ils font parti de l'Espagne, au même titre que si toutes les industries italiennes sont au nord, c'est à cause du phénomène de concentration des activités
Pour le référendum Kurde, encore un fameux exemple de référendum qui est tout sauf démocratique. Le kurdistan irakien, ce n'est plus l'Irak, ils ont déjà tous sous leur contrôle, l'armée, le langage, l'administration... En gros, ce n'est plus l'Irak. Ni de près, ni de loin. A quoi bon faire un référendum, alors ? Comme pour les Catalans, il s'agit d'envoyer un message à la communauté internationale avec un résultat attendu (90% là encore, sauf que là, ils ont massivement votés) et de transformer le référendum en un plébiscite (comme tout bon référendum). On répond généralement "oui" ou "non" à celui qui pose la question, et pour le cas des kurdes en Iraq, il s'agit pour le président local, de consolider son pouvoir
Encore, les indépendantistes ne sont pas homogènes, et on y retrouve des tendances tout à fait contraire : des anti-eu, des nationalistes pur souche et tout le tralala habituel.
Les anti-indépendantistes commencent à se réveiller petit à petit... Peut-être à cause de ce fameux référendum qui fut une mascarade sans précédent... Seuls les pro-indépendantistes iraient participer à un referendum illégal, tenus par des assesseurs tous pro-indépendance. C'était une parodie de démocratie, l'Etat a bien fait d'envoyer les policiers perturber tout ça, mais c'est aussi une faute politique sans précédent, car voilà que les indépendantistes s'estiment victimes de violence policière
Dans le cas ou la Catalogne accède à l'indépendance, cela déconcentrerait les activités économiques implémentée là bas. Les catalans croient que leur réussite économique est le fait de leur génie, mais c'est aussi parce qu'ils font parti de l'Espagne, au même titre que si toutes les industries italiennes sont au nord, c'est à cause du phénomène de concentration des activités
Pour le référendum Kurde, encore un fameux exemple de référendum qui est tout sauf démocratique. Le kurdistan irakien, ce n'est plus l'Irak, ils ont déjà tous sous leur contrôle, l'armée, le langage, l'administration... En gros, ce n'est plus l'Irak. Ni de près, ni de loin. A quoi bon faire un référendum, alors ? Comme pour les Catalans, il s'agit d'envoyer un message à la communauté internationale avec un résultat attendu (90% là encore, sauf que là, ils ont massivement votés) et de transformer le référendum en un plébiscite (comme tout bon référendum). On répond généralement "oui" ou "non" à celui qui pose la question, et pour le cas des kurdes en Iraq, il s'agit pour le président local, de consolider son pouvoir
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